Transmettez vos observations de rosalie en France !

L’Opie a lancé un programme de sciences participatives En quête d’insectes, en quoi consiste-t-il ?

Il invite toute personne qui aurait croisé certaines petites bêtes faciles à reconnaître, telle la rosalie des Alpes, à transmettre son observation. C’est simple : il suffit de renseigner nom, lieu et date sur un formulaire en ligne. Ou via l’application INPN Espèces en ajoutant une photo.

Pourquoi faire appel à la participation citoyenne ?

Pour récolter bien plus de données que n’en serait capable la science avec les moyens dont elle dispose. Depuis le lancement du programme en 2014, nous avons compté 2 887 signalements rien que pour la rosalie. Cela permet de cartographier l’insecte plus finement et de mener des recherches sur l’évolution de ses populations, notamment par rapport au réchauffement climatique.

Quels gestes supplémentaires peut-on faire pour favoriser les longicornes à notre échelle ?

Parlez autour de vous de ces fabuleux insectes et de l’importance des vieilles forêts pour le vivant. Si vous avez un jardin, aménagez des tas de gros bois mort, plantez des haies vives et troquez votre gazon pour une prairie fleurie, en oubliant les pesticides.

Signalez vos observations.