Zizi et lulu dans la vigne
Quand la brume hante les plaines et que l’hiver s’attarde en montagne, rien de tel qu’une virée parmi les vignes bien exposées.
Quand la brume hante les plaines et que l’hiver s’attarde en montagne, rien de tel qu’une virée parmi les vignes bien exposées.
Pour peu qu’on ait l’humeur maussade, on pourrait presque voir dans ces alignements méticuleux un cimetière militaire. Mais si les vignes pleurent de tous leurs sarments, c’est plutôt de joie pour accueillir mars qui repousse la torpeur hivernale. Sur le coteau, les ceps tortueux sont comme de petits personnages aux bras tendus vers le soleil. Le temps des raisins sucrés et des vendangeurs laborieux est encore loin. Les troncs nains ne portent pour l’heure ni fruit ni feuillage. Bien ancrés dans la terre ocre qui nourrit leur caractère propre, ils se tiennent prêts. En attendant

La suite de cet article est disponible pour les abonnés à la Revue Salamandre
Vous êtes déjà abonné ? Connectez-vous
Comment accéder aux articles en illimité ?
Soutenez un média indépendant,
Abonnez-vous à la Revue Salamandre
et créez votre compte en ligne, c’est tout !
A partir de 39€ / an
Vous êtes déjà abonné ? Connectez-vous

Cet article est extrait de la Revue Salamandre
Catégorie
Vos commentaires
Ces produits pourraient vous intéresser
Poursuivez votre découverte
La Salamandre, c’est des revues pour toute la famille
Plongez au coeur d'une nature insolite près de chez vous
Donnez envie aux enfants d'explorer et de protéger la nature
Faites découvrir aux petits la nature de manière ludique
merci de ne pas les utiliser sans l'accord de l'auteur
Pour commenter sans créer de compte, il vous suffit de cliquer dans la case « nom » puis de cocher la case « je préfère publier en tant qu’invité ».