Ville confinée, flore libérée
Printemps 2020, un virus cloître soudainement les humains et fait taire leurs machines. A Genève, Bordeaux ou Bruxelles, la flore prospère, tout comme au pied de la tour Eiffel.
Printemps 2020, un virus cloître soudainement les humains et fait taire leurs machines. A Genève, Bordeaux ou Bruxelles, la flore prospère, tout comme au pied de la tour Eiffel.
En cette belle matinée de fin avril, il règne dans Paris un silence rare, presque pesant. Je marche dans une rue d’ordinaire bien animée qui semble s’être vidée de ses passants. Le temps paraît suspendu. Autre fait inhabituel, le moindre carré de verdure offre une ambiance champêtre que l’on aimerait voir plus souvent dans nos villes. Parcs et jardins où la pelouse était rase sont désormais laissés en friche, les herbes folles ne sont plus l’exception mais la norme. La flore spontanée se développe en abondance, débordant bien au-delà des limites rectilignes qui lui éta

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